http://www.luispenin.blogspot.com/
Dos temporadas como escalador de drytooler le han bastado a Luis Penín para ser galardonado por la FEDME con el premio a la mejor actividad de escalada en hielo-drytooling del año 2007. Motivación inagotable y autoestima definen a este escalador gallego, que con el encadenamiento de "No Limit"(M12+) dejó el listón muy alto para el próximo invierno.
Este libro creouno Antón Avilés de Tarramancos, e foi ilustrado por Manolo Uhia.É a única peza de teatro e a única pensada para o público infantil que deixou Antón.
Constitúe unha apaixonante viaxe pola historia da literatura galega;aquí desfilan reis e trobadores, ou mesmo Francisco Añón.
É un libro moi bonito, quizais en algúns momentos algo triste.Se queredes saber de que vai animádevos a lelo!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Paula Sánchez 1º E.S.O.
É un libro de Suso de Toro, publicado pola editorial Xerais. É unha historia que sucede aquí en Galicia.A min meteume algo de medo, non sei explicar moi ben porque.Pero o que si sei ,e que a pesar do medo que me impoñía, tiña unha certa intriga por saber o que ía pasar no capítulo seguinte.Recomendovós que o leades, isto que, se non che gustan os contos de intriga non deberás lelo e moito menos se non che gusta o medo.
PAULA SÁNCHEZ 1ºE.S.O.
Os Papalagi:
Papalagui significa "Home branco estranxeiro". E Os Papalagui son pequenos discursos de Tiavii de Tiavea (xefe de Samoa) dirixidos aos habitantes das illas do Mar do Sur, e nos que se fala de Europa, da cultura occidental, de nós. A mirada distante e lúcida deste samoano redescóbrenos os nosos costumes, o traballo,a vivenda, o tempo...
Este libro pareceume un pouco aburrido ainda que conta a nosa vida, a través do punto de vista dun xefe samoano. Resultounos un pouco dificil, de entender a trama, xa que non se expresaba con total claridade. Cristina Suarez 1º ESO
Un beso como porta de entrada a outra realidade. Gonzalo Moure, un escritor valencián escribiu no 1998 "El beso del Sáhara" na editorial Alfaguara Juvenil. O conto trara do misterio no deserto, unha historia na que o punto de vista occidental perde o sentido. Logo o autor crea un laberinto de soño e verdade confusos. A min encantoume. Lédeo porque non vos defraudará. 
http://www.fnac.es
La FNAC (del francés: Fédération Nationale d'Achats pour Cadres) es una empresa francesa especializada en la venta de artículos electrónicos, ordenadores, artículos fotográficos, libros, música y vídeo. Ofrece también ventas por Internet, siendo uno de los grupos pioneros en este formato en su país de origen.
El director de la empresa hasta el momento a nivel internacional fue Denis Olivennes, y el director en Francia es Bruno Crémel. Esta empresa posee 44 filiales repartidas en Bélgica, Italia, Grecia, España, Portugal, Brasil, Taiwán y, obviamente, Francia, donde tiene su sede y posee 67 tiendas en 55 ciudades
Sucursales en España
En España cuenta con dieciséis tiendas (en orden de apertura), aparte de su página web:
Callao (Madrid), L'illa (Barcelona), San Agustín (Valencia), Triangle (Barcelona), Coso (Zaragoza), Bulevar (Alicante), Parque Principado (Oviedo), Diagonal Mar (Barcelona), La Cañada (Marbella, Málaga), Plaza Norte (San Sebastián de los Reyes, Madrid), ParqueSur (Leganés, Madrid), Donostia (San Sebastián), Nueva Condomina (Murcia), Bilbao (Bilbao), Avda. de La Constitución (Sevilla), y Praza de Lugo (A Coruña).
La FNAC se especializa en electrónica, libros, música y videojuegos, aunque también cuenta con servicios adicionales como cafetería o fórum, donde se realizan eventos literarios, conciertos, charlas y proyección de audiovisuales, entre otros.
Por otra parte, también está disponible un programa de socios mediante tarjeta o carné, con descuentos en algunos artículos y financiaciones de productos.
LOS SUEÑOS DE AURELIA
Cansada de no recordar nada sus sueños, Aurelia visita a un hada para que le dé la solución. Pero la niña sabe que, a veces, los problemas más sencillos no son los más fáciles de resolver. Sobre todo, cuando aparecen unos cuantos personajes capaces de convertir un día cualquiera en una verdadera pesadilla.
Esto es en lo que se basa este libro. Yo personalmente os lo recomiendo. A mi, en mi opinión, es una historia divertidísima. Leedla.
Paula Sánchez Mandayo 1º E.S.O
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Biographie de Georges Méliès
Georges Méliès est né au 29, boulevard Saint-Martin, à Paris en France dans une famille de fabricants de chaussures. Il travaille un temps dans l'entreprise de son père, avant de partir pour Londres en Angleterre afin d'y apprendre la prestidigitation et les automates et devient le directeur du théâtre Robert Houdin qu'il achète en 1888 pour y monter des spectacles de prestidigitation et de « grandes illusions ».
En 1891, il crée l'Académie de Prestidigitation, qui se transformera en 1904 en Chambre syndicale de la prestidigitation. Il en fut le président pendant une trentaine d'années. Georges Méliès aimait faire des tours de magie dans les rues de Paris. Il se passionne pour le cinéma naissant et prend contact avec les frères Lumière. Ceux-ci l'en dissuadent : le cinéma bénéficie selon eux d'un attrait de nouveauté, mais sa réalisation coûte cher et le retour sur investissement n'est pas assuré : Méliès pourrait s'y ruiner. Peine perdue : il achète un projecteur à Londres et fonde sa propre société de production qu'il appelle Star Film - sans imaginer la signification universelle que ces mots allaient connaître.
Peut-être, d'ailleurs, les frères Lumière ne voulaient-ils qu'écarter un concurrent potentiel, car pour leur part ils envoient des équipes de tournage sur toute la planète pour rapporter des images dans les salles.
En 1897, il crée un studio vitré dans sa propriété de Montreuil et filme ses acteurs (dont souvent lui-même) devant des décors peints directement inspirés par les spectacles de magie de son théâtre. Il filme également, faute de pouvoir être sur place, des actualités reconstituées en studio. Il développe aussi un atelier de coloriage manuel de ses films, procédé largement inspiré de ce qui se fait pour la colorisation de photos en noir et blanc. Il se fait ainsi tour à tour producteur, réalisateur, scénariste, décorateur, machiniste et acteur.
De 1896 à 1914, il réalise près de six cents « voyages à travers l'impossible », autant de petits films enchanteurs, mystérieux, naïfs, à la beauté poétique aujourd'hui parfois surannée. Courts métrages de quelques minutes projetés dans des foires et vus comme une simple évolution de la lanterne magique.
Son premier film important, l'Affaire Dreyfus (1899), est une reconstitution de 10 minutes qui témoigne de son intérêt pour le réalisme politique. Si son Voyage dans la Lune (1902), chef-d'œuvre véritable d'illusions photographiques et d'innovations techniques, remporte un certain succès, G. Méliès ne parvient cependant pas à rivaliser avec les sociétés à production élevée.
Voici comment sa petite fille, Madeleine Malthête-Méliès, relate en 1961 cette période : «Méliès cessa toute activité cinématographique en 1913. C'est en mai de cette même année qu'il perdit sa femme et resta seul avec ses deux enfants, Georgette, née en 1888, dont je suis la fille, et André, né en 1901. Il ne pouvait disposer de ses fonds comme il le voulait à cause de la présence de son fils mineur dans la succession. Il se trouvait donc dans une situation financière extrêmement embrouillée lorsque éclata la guerre de 1914, Le Théâtre Robert-Houdin qui était devenu un cinéma avec séance de prestidigitation le dimanche seulement fut fermé dès le début des hostilités par ordre de la police...»
De 1915 à 1923, Mélies montera, avec l'aide de sa famille, de nombreux spectacles dans un de ses deux studios cinématographiques transformé pour l'occasion en théâtre.
En 1923, poursuivi par un créancier, il doit revendre sa propriété et quitte Montreuil.
«Toutes les caisses contenant les films furent vendues à des marchands forains et disparurent. Méliès lui-même, dans un moment de colère, brûla son stock de Montreuil.» (Madeleine Malthête-Méliès).
Ses films sont en majorité détruits ou vendus (récupérés au poids et transformés en talonnettes de chaussures). En 1925 il retrouve une de ses principales actrices, Jeanne d'Alcy. Elle tient une boutique de jouets et de sucreries dans la gare Montparnasse. Il l'épouse et ils s'occupent ensemble de la boutique. C'est là qu'il sera retrouvé par Léon Druhot, directeur de Ciné-Journal, qui le fera sortir de l'oubli.
Son œuvre est redécouverte par les surréalistes et il obtient la Légion d'honneur en 1931.
En 1932, il est placé au château d'Orly, maison de retraite de la Mutuelle du cinéma (la Mutuelle du cinéma fut fondée en 1921 par Léon Brézillon, Président du syndicat français des exploitants du cinématographe), il y terminera sa vie avec son épouse Jeanne d'Alcy.
Il repose au Père-Lachaise à Paris.
Peu de temps avant la mort de G. Méliès, en 1938, Henri Langlois, créateur de la Cinémathèque française, parvient à sauver une partie de ses films et en dirige la restauration. À la charnière du théâtre et du cinéma, G. Méliès - au sujet duquel D.W. Griffith déclara « je lui dois tout » - fut un véritable « inventeur », l'inventeur du cinéma de divertissement. Depuis 1946, le prix Méliès couronne chaque année le meilleur film français ou de coproduction française.
On estime qu'en dix-sept ans d'activité, Georges Méliès réalisa près de 600 courts métrages de 1 à 40 minutes, en privilégiant trois genres : la féerie, la science-fiction et la reconstitution historique.
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Avec Sartre, Raymond Aron, Michel Leiris, Maurice Merleau-Ponty, Boris Vian et quelques intellectuels de gauche, elle fonde un journal : Les Temps modernes qui a pour but de faire connaître l'existentialisme à travers la littérature contemporaine. Mais elle continue cependant son œuvre personnelle. Après plusieurs romans et essais où elle parle de son engagement pour le communisme, l'athéisme et l'existentialisme, elle obtient son indépendance financière et se consacre totalement à son métier d'écrivaine. Elle voyage dans de nombreux pays (É.-U., Chine, Russie, Cuba, etc.) où elle fait la connaissance d'autres personnalités communistes telles que Fidel Castro, Che Guevara, Mao Tsé-toung, Richard Wright. Aux États-Unis, elle engage une relation passionnée avec l'écrivain américain Nelson Algren, et lui envoie plus de 300 lettres.
En 1949, elle obtient la consécration en publiant Le Deuxième Sexe. Le livre se vend à plus de 50 000 exemplaires dès la première semaine, occasionne la publication des articles contradictoires de Armand Hoog (contre) et de Francine Bloch (pour) dans la revue La Nef, et fait scandale au point que le Vatican le mette à l'index. François Mauriac, l'ennemi de toujours écrira aux Temps modernes : « à présent, je sais tout sur le vagin de votre patronne ». Beauvoir devient la figure de proue du féminisme en décrivant une société qui maintient la femme dans une situation d'infériorité. Son analyse de la condition féminine à travers les mythes, les civilisations, les religions, l'anatomie et les traditions fait scandale, et tout particulièrement le chapitre où elle parle de la maternité et de l'avortement, assimilé à un homicide à cette époque. Quant au mariage, elle le considère comme une institution bourgeoise aussi répugnante que la prostitution lorsque la femme est sous la domination de son mari et ne peut en échapper.
En 1954, elle obtient le prix Goncourt pour Les Mandarins et devient l'un des auteurs les plus lus dans le monde. Ce roman qui traite de l'après-guerre met en lumière sa relation avec Nelson Algren, toujours à travers des personnages imaginaires. Algren ne peut pas supporter le lien qui unit Beauvoir à Sartre, celle-ci ne pouvant y mettre un terme, ils décident de rompre.
À partir de 1958, elle entreprend son autobiographie où elle décrit son milieu bourgeois rempli de préjugés et de traditions avilissantes et les efforts pour en sortir en dépit de sa condition de femme. Elle décrit aussi sa relation avec Sartre en la qualifiant de totale réussite. Pourtant, bien que la relation qui les unit soit toujours aussi passionnée, ils ne sont plus un couple au sens propre du terme, et ce depuis longtemps, même si Beauvoir laisse entendre le contraire à ses lecteurs.
En 1964, elle publie Une mort très douce qui retrace la mort de sa mère. D'après Sartre, c'est son meilleur écrit. Le thème de l'acharnement thérapeutique et de l'euthanasie y sont évoqués à travers des lignes poignantes d'émotion. Dans cette épreuve de deuil, elle est soutenue par une jeune fille dont elle a fait la connaissance à la même époque : Sylvie Le Bon, une jeune étudiante en philosophie. La relation qui unit les deux femmes est obscure : relation « mère-fille », « amicale », ou « amoureuse »... Simone de Beauvoir déclare dans Tout compte fait, son quatrième tome autobiographique, que cette relation est semblable à celle qui l'unissait à Zaza cinquante ans plus tôt. Sylvie Le Bon devient sa fille adoptive et héritière de son œuvre littéraire et de l'ensemble de ses biens.
L'influence de Beauvoir, associée à Gisèle Halimi et Elisabeth Badinter, a été décisive pour obtenir la reconnaissance des tortures infligées aux femmes lors de la guerre d'Algérie et le droit à l'avortement. Elle est à l'origine du Manifeste des 343. Avec Gisèle Halimi, elle a cofondé le mouvement Choisir, dont le rôle a été déterminant pour la légalisation de l'Interruption volontaire de grossesse. Durant toute sa vie, elle a étudié le monde dans lequel elle vivait, en visitant usines et institutions, à la rencontre d'ouvrières et de hauts dirigeants politiques.
Après la mort de Sartre en 1980, elle publie La Cérémonie des adieux où elle décrit les dix dernières années de son compagnon avec des détails médicaux et intimes si crus qu'elle choque bon nombre des disciples du philosophe. Ce texte est suivi des entretiens qu'elle enregistra, à Rome, en août et septembre 1974 dans lesquels Sartre revient sur sa vie et précise certains points de son œuvre. Elle veut surtout montrer comment celui-ci a été manipulé par Benny Lévy pour lui faire reconnaître une certaine "inclination religieuse" dans l'existentialisme alors que l'athéisme en était l'un des piliers. Pour Beauvoir, Sartre ne jouissait plus de toutes ses facultés intellectuelles et n'était plus en mesure de lutter philosophiquement. Elle avoua également à mi-mot combien l'attitude de la fille adoptive de Sartre, Arlette Elkaïm-Sartre avait été détestable à son égard. Elle conclut avec cette phrase : « Sa mort nous sépare. Ma mort ne nous réunira pas. C'est ainsi ; il est déjà beau que nos vies aient pu si longtemps s'accorder ».
L'âge venant, après une vie d'excès en alcool et tabac, elle s'éteint en 1986 à Paris entourée de sa fille adoptive, Sylvie Le Bon de Beauvoir et de Claude Lanzmann. Ses funérailles furent aussi grandioses que celles de Sartre, et suivies par des femmes du monde entier. Elle est enterrée au cimetière du Montparnasse à Paris, dans la 20e division — juste à droite de l'entrée principale boulevard Edgard Quinet — aux côtés de Jean-Paul Sartre. Simone de Beauvoir est enterrée avec l'anneau de Nelson Algren à son doigt.
| http://es.wikipedia.org/wiki/Some_Like_It_Hot | |||||||||||||||||||||||||
| INFORMACIÓN PROCEDENTE DE WIKIPEDIA | |||||||||||||||||||||||||
 Some Like It Hot is a 1959 comedy film directed by Billy Wilder and starring Marilyn Monroe, Tony Curtis, and Jack Lemmon. The supporting cast includes George Raft, Joe E. Brown, Pat O'Brien, and Nehemiah Persoff. The film was adapted by Billy Wilder and I.A.L. Diamond from the story by Robert Thoeren and Michael Logan. Logan had already written the story (but without the gangsters) for a German film, Fanfaren der Liebe (directed by Kurt Hoffmann, 1951), so that Wilder's film is seen by some as a remake. In 2000, the American Film Institute listed Some Like It Hot as the greatest American comedy film of all time. PlotTwo struggling musicians, Joe and Jerry (Curtis and Lemmon), witness what looks like the Saint Valentine's Day massacre of 1929. When the Chicago gangsters, led by 'Spats' Columbo (Raft) spot them, the duo flee for their lives. They escape and decide to leave town, only to find the sole out-of-town jobs available are in an all-girl band headed to Florida. The two disguise themselves as women, calling themselves Josephine and Geraldine (later Jerry changes his pseudonym to Daphne), join the band and board a train. Joe and Jerry both fall for "Sugar Kane"(Monroe), the band's sexy Polish-American vocalist and ukulele player, and fight for her affection while maintaining their disguises. In Florida, Joe woos Sugar by assuming a second disguise as a millionaire named "Junior", the heir to Shell Oil, while mimicking Cary Grant's voice. An actual millionaire, Osgood Fielding III (Brown), falls for Jerry in his Daphne guise. One night Osgood asks Daphne out to his yacht. Joe convinces Daphne to keep Osgood ashore while he goes on the yacht with Sugar. That night Osgood proposes to Daphne who, in a state of excitement, accepts. When the mobsters arrive at the same hotel for a conference honoring "Friends of Italian Opera", Spats and his gang spot Joe and Jerry. After several humorous chases (and witnessing yet another mob murder), Jerry, Joe, Sugar, and Osgood escape to the millionaire's yacht. Enroute, Sugar tells Joe that she's in love with him and not with "Junior". Jerry, for his part, tries to explain to Osgood that he can't marry him, but Osgood is oblivious to all of Jerry's objections and remains determined -- to the very end—to go through with the love match; finally, Jerry removes the wig and yells, "I'm a man!", prompting Osgood to utter the movie's memorable last line: "Well, nobody's perfect."
EN FRANÇAIS : SCÉANCE : LUNDI À 17H20 Certains l'aiment chaudUn article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959. SynopsisUn corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s’échangent. Il arrive à s’échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, parviennent à s’enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu’ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d’une tuerie entre gangsters, le massacre de la Saint-Valentin, pour des raisons de denonciation à la police. Afin d’échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Joe devient Joséphine et Jerry devient Daphnée ; ils tombent amoureux de la même ravissante et blonde créature, qui veut épouser un milliardaire. Voulant séduire Sugar Kane, qu'interprète Marilyn Monroe, Joe s'invente même une troisième identité, Junior. EN ESPAÑOL : PASE : LUNES A LAS 3H30 SinopsisDos músicos, Joe y Jerry, presencian la Masacre de San Valentín en Chicago en 1929, hecha por la Mafia. Son perseguidos por los gánsteres, que quieren deshacerse de estos incómodos testigos y al no tener dinero y para huir de Chicago, se disfrazan de mujeres e ingresan en una banda de chicas, pasando a llamarse Josephine y Daphne. La banda se dirige a Florida. Joe y Jerry se enamoran de la cantante e intérprete de ukelele, Sugar, y compiten por llamar su atención, a la vez que luchan por que no se descubra que son hombres. En Florida, el millonario Osgood se enamora de Daphne/Jerry, mientras Joe adopta una doble personalidad masculina/femenina y se viste imitando a Cary Grant, finge ser millonario para conquistar a Sugar. La Mafia llega a Miami finalmente y descubre a los testigos. | |||||||||||||||||||||||||
O Día da Ciencia na Rúa con 35 carpas instaladas ao aire libre no Parque de Santa Margarita foi, a pesar do mal tempo, un ano maís un exito .
Os visitantes podían pasear polas carpas dalgúns dos centros educativos da Coruña, Betanzos, Cambre, Oleiros, Culleredo, As Pontes, Sada, Ribadeo e Carballo donde os alumnos e mailos seus profesores, identificados con camisetas azuis, explicaban os proxectos expostos e realizados polos alumnos ó longo do curso:fornos solares, muíños, norias, maquetas de mecanismos, paneis de bioloxía, matemáticas, experiencias de cores-luz e moitos mais.
A Universidade da Coruña tiña tamén unha importante representación con programas de actividades presentados por profesores e alumnos das facultades de Ciencias da Educación, Informática e Ciencias.
De espectaculares poderíamos cualificar moitos dos traballos e experiencias presentados por alumnos de ciclos formativos de formación profesional. Destacar, ademáis, a presenza dunha carpa da Asociación Coruñesa de Persoas con Diabete(www.diabetescoruna.org) que explicaba a todos os visitantes, de forma moi sinxela, en que consiste esta enfermidade e como é o día a día dos nenos afectados.As persoas que levaban esta carpa repartían aos interesados unha serie de de cadernos divulgativos.
En definitiva, un éxito de público e crítica para esta XIII edición "da Ciencia na Rúa".
Por que non participades na XIV edición?
